Épilogue


 

 Je ne me mets pas au piano sans lui, je ne sors pas marcher sans lui,
il est le souffle

Que je me prenne à dessiner, à démêler des fils, ou voir se tendre des cordages impressionnants,
je suis de son espace

Tout autour n'ai-je pas laissé percevoir trace de lui,
n'ai-je pas jeté quelques graines dérobées à monsieur Temps ?

Peinture de Bengt Lindström, The Poet, 1967

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